Suite et fin de cette trilogie, qui prend place dans le monde beaucoup plus vaste de Uchronie[s]. Une conclusion tout à fait à la hauteur de cette série.
Editeur : Glénat
New Byzance #2, fastes et bas-fonds
Si l’on peut reprocher au scénario de prendre des raccourcis, et d’user de ficelles un peu grosses, on ne peut pas lui reprocher d’avancer à toute vitesse, prenant en otage l’attention du lecteur avec une efficacité redoutable.
Bienvenue à New Byzance (#1)
Zack est un prescient qui a la capacité d’induire chez les autres des rêves. Au service de l’Utopie Fondamentaliste, le gouvernement de New Byzance, il remet corrige les « criminels par la pensée ».
Uchronie[s] – New Harlem
Dans « New Harlem », les catégories sociales sont inversées entre blancs et noirs. Ainsi, les hautes sphères du pouvoir sont détenues par ces dernières, tandis que les populations blanches vivent dans des quartiers insalubres.
Uchronie[s] – New Byzance
New Byzance est une cité orientale en plein nouveau mode. La série suit les péripéties de Zack, un prescient capable d’insuffler ses rêves dans le subconscients des repris de justice.
Uchronie[s] – New York
Dans « New York », nous suivons Jonathan, jeune homme tout juste réveillé du coma après 10 ans de léthargie.
La Jeunesse de Picsou
Critique exhaustive de la « Jeunesse de Picsou » par Don Rosa, une œuvre majeure de la bande-dessinée Disney.