Voici un extrait de comics que je conserve dans mes brouillons depuis très longtemps ; sauf erreur, cela remonte même à mon précédent blog, donc probablement dans le courant des années 2010. Mais elle est également dans mes souvenir depuis les années 1990, tant elle a marqué l’adolescent que j’étais.
Extrait du chapitre 8ter de la Jeunesse de Picsou, il constitue le principal tournant de l’histoire du canard le plus riche du monde : après une hésitation, il privilégie finalement son rêve (faire fortune) à son amour (rester auprès de Goldie). Les planches muettes, composées en symétrie, souligne tout le drame de l’instant.
Après cela, Balthazar et elle ne se reverrons plus…
Cela peut sembler un peu larmoyant ; mais je pense que quiconque a lu cette saga a été marqué par ce passage.
